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Côte de granit rose

 

Séjour découverte de la Côte de Granit Rose

Dates : samedi 09 septembre à samedi 16 septembre 2023

Animateur :         Philippe CABON                                     Téléphone : 06 18 48 24 50

Séjour dans le Trégor (Côte d’Armor, 22)

Entre terre et mer, à la découverte de la côte de granit rose.

Au programme : 4 ou 5 randonnées entre Tréguier et Trébeurden, 18 à 20km chaque jour, au long du GR34. Niveau des randonnées : force 2 à 3.

Un jour consacré au tour le l’île de Bréhat, par la mer et par la terre, balade libre sur l’île.

Découverte touristique de Tréguier (maisons à colombage, cathédrale) et/ou du musée des Telecoms (le radome qui a réalisé la 1ere liaison satellite avec les USA).

Méteo bretonne garantie. Pleine mer le 10 à 16h mais le 15 à 8h et 20h.

Nombre maxi de participants : 22

Lieu et type d’hébergement: Hébergement en centre de vacances.
Chambres 2 ou 3 lits. La répartition nous sera confirmée 1 mois avant.

Pension complète (picnic inclus).

Conditions de transport : A organiser (covoiturage, train, …). rendez vous sur place samedi pour le dîner.

Prix total du séjour : hébergement + restauration + Tour de Bréhat : environ 500€ (hors trajet pour rejoindre la côte de granit rose).

 

Dates et montants des acomptes demandés :

Inscription confirmée par un 1er acompte de 150€.

2eme acompte au 30 juin 150€

Solde à la fin du séjour

 

En étoile autour de Caylus

Séjour du 20 au 22 septembre 2023 à CAYLUS dans le Tarn et Garonne à 150kms de Millau. Les animateurs: Castanié Claudie, Collet Bernard, David Igel Isabelle. Randonnées, histoire et patrimoine sont au programme!

Voilà ci dessous le compte rendu du séjour:

Ce 8e séjour proposé par Lo Bartas, conduit par Claudie, est un voyage dans l’espace et dans le temps. Jouant avec la météo qui alterne entre petites pluies éparses et grand soleil, les 20 participants de cette escapade automnale ouvrent grands leurs yeux et leur âme devant ce qui constitue une partie des richesses du patrimoine naturel, architectural et artistique de l’est du département du Tarn-et-Garonne. Nous sommes à deux heures de route de Millau, dans le Midi-Quercy, aux portes du GR 46.

Le « camp de base » est à Caylus, dans le centre de vacances « Bord de Ciel » où nous attend la petite équipe familiale – Magali et Mathieu – qui gèrent avec gentillesse et sérieux l’accueil et la restauration du groupe. Qu’ils en soient vivement remerciés !

Rayonnant en étoile, nos pas nous portent pour cette première journée à Ginals où un joyau de l’art cistercien se love dans la vallée de la rivière Seye : l’abbaye de Beaulieu-en-Rouergue. Elle est fondée au XIIe siècle par des moines ermites et est installée sur un domaine de 20 hectares de bois, prés et jardins. Traversant les vicissitudes de l’Histoire, elle doit sa survie à deux passionnés amateurs d’architecture et d’art contemporain  qui l’acquièrent : Geneviève Bonnefoi et Pierre Brache. Ils feront don de ce patrimoine au Centre des Monuments Nationaux qui a mis tout en œuvre pour qu’aujourd’hui néophytes, curieux ou connaisseurs aient accès à ce trésor ouvert à tous, loin du tapage parfois outrancier du monde médiatique. Le site de Beaulieu-en-Rouergue se mérite : outre l’abbaye, le logis abbatial et l’église, on y voit la collection permanente d’oeuvres d’art contemporain du couple Bonnefoi-Brache que notre guide Coline présente dans un propos intéressant et accessible même si l’on n’est pas expert en la matière.

C’est à proximité de la roseraie remise au goût du jour par André EVE – rosiériste des Pays de Loire – et du vivier jadis voué à la pisciculture que les membres du groupe ont partagé leur pique-nique à l’ombre des arbres du parc paysager.

Construite en hauteur autour d’un château-fort, Caylus est constituée de ruelles – droites ou tortueuses – parfois pavées, obligeant à la fois à lever la tête pour découvrir un détail des maisons à colombages et à regarder où l’on met les pieds pour ne rien manquer de ce qui s’offre au visiteur. Chacune et chacun s’arrête pour s’interroger, pour commenter et partager ses impressions, ses étonnements, ses émotions.

Une curiosité que ne manque d’admirer le groupe : une sculpture monumentale installée depuis 1954 dans l’église St Jean-Baptiste. Taillée dans un tronc d’ormeau, elle représente un Christ de 5,40 m de hauteur et qui ne laisse pas indifférent le croyant ou l’athée. Réalisée par l’artiste russe Ossip Zadkine (1890 – 1967), un des maîtres de la sculpture contemporaine, et internationalement reconnu, cette œuvre est un signe de sa reconnaissance à la ville de Caylus de l’avoir accueilli quand l’Histoire européenne de l’entre-deux guerres bouscule la vie de l’humanité.

Une montée au sanctuaire Notre-Dame de Livron nous permet d’apprécier le silence de ce site voué à la méditation et de découvrir le chemin de croix accessible par la marche.

Une journée qui se termine avec le sourire et dans la bonne humeur après un original jeu de piste ….

Le soleil est au rendez-vous de cette deuxième journée qui salue l’arrivée de l’automne.

Au départ de Saint-Antonin-Noble-Val, nous partons pour une randonnée dans le cirque de Bône dominant la rivière et les méandres de l’ Aveyron, la forêt de Grésigne : sentiers bordés de murs en pierres sèches, en sous-bois. A 180° s’étire devant nous un paysage fait de la vallée de l’Aveyron au-dessus de laquelle les falaises calcaires du Roc d’Anglars renvoient leur éclat minéral. Nous passons d’un état suspendu –  traversant le plateau –  à la rivière de l’Aveyron sur laquelle naviguent des canoëistes. Plus tard dans la soirée, nous allons jusqu’au belvédère du Roc d’Anglars regarder le jour qui décline et profiter d’une petite brumisation de la pluie qui reprend.

La découverte pédestre de la cité médiévale de Saint-Antonin-Noble-Val nous rappelle la richesse passée de cette station gallo-romaine, située aux confins du Rouergue et évangélisée par Saint-Antonin. Nous tendons l’oreille pour tenter de retrouver les chants de Ramon Jordan, vicomte de Saint Antonin, un des plus brillants troubadours de son temps. Mais, c’est le chant de l’eau qui déambule sous les ponts de la ville qui nous répond : les dérivations de la rivière Bonnette qui subsistent  servaient de tout-à-l’égout et alimentaient les tanneries. Rue Droite, deux habitations se distinguent par leurs clefs de voûtes figurées : la maison de l’Amour qui doit son nom à cet homme et cette femme qui unissent leurs lèvres en un chaste baiser, et la maison du Repentir où, à l’inverse, deux visages se détournent l’un de l’autre.

Randonner, marcher, revenir sur nos pas, piétiner, flâner, déambuler, nous sommes des arpenteurs : autant des chemins escarpés et accidentés que des passages urbains et des vestiges du passé. Nous révisons notre histoire et notre géographie, méditant et/ou bavardant : c’est la magie du « marcher ensemble » !

La météo, placée sous le signe de la pluie, nous oblige à revoir le programme de cette dernière journée. Le choix se porte sur un circuit par la route qui va nous conduire de Caylus à Millau :

– Le village de Laguépie établi sur une presqu’île doit sa prospérité à la construction du pont sur le Viaur dans un premier temps, à la construction  de la gare et du pont sur l’Aveyron au XIXe siècle dans un second temps. Il serait un peu fastidieux de développer nos découvertes, toutefois il convient d’évoquer une brève rencontre, touchante, de l’ancien directeur de l’école de Laguépie, instituteur de son état – Maxime Roumagnac – qui peint, fait de la photo, écrit de la poésie. Tête couverte de son chapeau un peu élimé sur les bords,  il ne tarit pas d’explications sur son engagement professionnel et sur la notion de transmission aux plus jeunes.  Belle rencontre pour le groupe.

– Najac est un des plus beaux villages de l’Aveyron et de France !! La Forteresse  Royale située à l’entrée des gorges de l’Aveyron se dessine telle une gardienne des territoires qu’elle domine. C’est un lieu où il faut prendre le temps de cheminer dans le dédale de ses ruelles bordées d’anciennes maisons bien conservées et tenter – si possible – de ne pas se laisser distraire par l’histoire et la dégustation des chocolats de la Chocolaterie du Nouveau Monde !

– L’Abbaye de Loc-Dieu  située à Martiel : pique-nique dans un parc de 45 ha et visite commentée de l’Abbaye construite au XIIe siècle par des moines cisterciens, dans ce coin du Rouergue, infesté de malfrats, marécageux où la malaria sévissait.

Plus récemment, l’abbaye de Loc-Dieu s’est illustrée par son engagement au service de l’art. En effet, en 1940, près de 3 000 œuvres ont fait le déplacement dans l’Ouest-Aveyron, dont la plus célèbre d’entre elles : « La Joconde ».

Lorsque nous visitons l’abbaye, « La Joconde » n’est plus là ; elle a réintégré le Musée du Louvre. « Sur place, il ne reste plus vraiment de trace de ce passage. Mais l’Aveyron aura joué son rôle dans la protection des plus belles œuvres du patrimoine français du pillage nazi » (La Dépêche du 29 juillet 2021).

A travers ce périple organisé par Lo Bartas, la démonstration est une nouvelle fois faite que la randonnée pédestre n’est pas une fin en soi mais bien le moyen de s’inscrire –  modestement –  dans ce qui constitue l’histoire et l’évolution d’un territoire, qu’elles qu’en soient sa taille et sa localisation géographique.

Pour voir les photos c’est ICI 

 

Lodève – Millau

 » Itinérance sur le Larzac de Lodève à Millau du 12 au 14 avril 2023.

Organisateurs : Pierre Courtial et Michèle Gaven. Voilà ci-dessous le récit du séjour:

Le mercredi 12 avril , 21 « bartassous » motivés et plein d’entrain se sont retrouvés à la gare routière de Millau, aussi déserte à cette heure matinale que certains coins du causse qu’ils prévoyaient d’arpenter.

Après un voyage en bus bien au chaud jusqu’à Lodève qui a permis à chacun de mesurer distance et dénivelée à parcourir avant de regagner ses pénates, nous nous retrouvons à la gare routière de Lodève au départ de la première étape qui doit nous conduire au Caylar . Un petit arrêt pour la photo souvenir devant le portail de la cathédrale Saint Fulcran et déjà un premier raidillon à gravir pour s’échauffer les mollets et atteindre le plateau des Tuilières et son site paléontologique connu pour ses belles empreintes de fougères.

La pente se fait douce et le sentier traverse un paysage méditerranéen de garrigue coloré par le jaune de genêts d’Espagne et le blanc des prunelliers, passe par les beaux villages de Soumont et de Fozieres avant d’atteindre Soubès au pied de la première grosse difficulté constituée par la montée sur le Larzac.

Pas de quoi faire reculer nos « bartassous » et les quelques kilomètres à travers les vignes et la magnifique forêt de pins sont vite « avalés ».

L’arrêt casse croûte aux ruines de la Chapelle Saint Clément de Man nous permet de souffler un peu et surtout d’admirer le magnifique point de vue avec au premier plan les avants causses et la vallée de la Lergue, au second plan le cirque de Mourèze et le pic de Vissou et en arrière plan Sète et la Méditerranée.

Après un deuxième arrêt aux ruines imposantes de l’ancienne ferme du Mas de Rouquet et son parc d’arbres centenaires, nous traversons un petit chaos dolomitique en marchant sur le « gresou » puis la vue se dégage à l’approche de la source de « la Padenette » et nous cheminons alors à travers les « pelencs » dans un paysage aux « standards » plus caussenards et aux vastes horizons.

Après 28 km et 1000 m de dénivelée, nous avons pu profiter pleinement de la qualité de l’accueil et de la cuisine du gîte du Caylar en savourant un plat de lasagnes digne de la meilleure trattoria.

Quelques « bartassous » ont même profité de la soirée pour faire l’ascension du Roc Castel et ses 752 mètres.

Le deuxième jour, après une nuit réparatrice, nous entamons la deuxième étape sous un ciel menaçant mais qui laisse entrevoir quelques coins de ciel bleu.

Pas de quoi nous faire reculer d’autant que le sentier emprunte pendant plus de 3 km une magnifique « bouissière » qui offre un abri des plus efficaces contre les assauts du vent.

Après avoir franchi la frontière Aveyron / Hérault, le ciel se déchire enfin et le soleil se fait plus généreux à notre arrivée à la Couvertoirade ce qui nous permet d’avoir depuis le col des Fourches une vision originale et panoramique sur la cité templière que nous ne faisons que traverser car encore endormie dans une torpeur quasi hivernale.

Par de larges pistes nous atteignons la ferme de Belvezet (belle vue en occitan), nous prenons le temps d’en admirer l’architecture templière, passons devant la magnifique lavogne dallée symbole de l’agro pastoralisme caussenard et arrivons à la Blaquererie où le casse croûte de midi est vite expédié car les « marsincades » se succèdent sans répits et les abris sont rares.

Après une traversée d’une belle pinède, nous débouchons sur une large clairière qui abrite la gare de Font-vive et attendons vainement un train qui ne viendra jamais, la ligne Tournemire / le Vigan étant désaffectée depuis 1951.

En désespoir de cause, nous empruntons le large chemin qui remplace la voie ferrée, laissons de coté les Canalettes et ses fameuses canoles pour atteindre l’Hospitalet du Larzac où nous faisons halte place de l’Église devant le zoo fondé par le docteur Reynaud. Ce zoo, fermé depuis 1971, présentait une collection d’oiseaux locaux et exotiques dont le célèbre aigle.

La pluie menaçant, nous traversons rapidement les bois de « la Crémade », un petit crochet pour une halte à l’ermitage Saint Amand et c’est l’arrivée à la Cavalerie.

Après 30 km et 600 m de dénivelée, chacun a pu profiter alors d’un repos bien mérité au coin du feu allumé fort opportunément par la propriétaire du gîte. Les conversations vont bon train dans la bonne humeur autour d’un savoureux « pelou ».

Là encore, hébergement et repas furent largement à la hauteur.

Le troisième jour, dans la fraîcheur du matin nous démarrons cette dernière étape plus motivés que jamais sachant le but proche et surtout les prévisions météo pessimistes pour l’après midi.

Les paysages de steppes qui se déroulent à l’infini nous sont plus familiers.

Nous longeons la forêt des arbres de la Liberté plantée en novembre 1989 par 1789 petites écoliers, laissons de coté les chaos de rochers du Rouquet blanc (et son célébré chameau) et du Rajal del Gorp, pour rejoindre par la « voie royale » qui reliait Condatomagus à Luteva, la ferme de Saint Michel.

Le temps se faisant de plus en plus en plus menaçant, le casse croûte à la Croix des scouts est vite expédié ce qui nous a permis de savourer pleinement les derniers kilomètres de notre itinérance entre le col du Renard et Millau à travers la forêt de pins noirs de Coste Vieille.               Pierre C.

Et voilà quelques photos:

Séjour à Luz St Sauveur

Séjour à Luz St Sauveur du Dimanche 27 Aout au Dimanche 3 Septembre 2023: compte rendu ci-dessous

Vingt-six adhérents du Bartas partent le 27 août pour un séjour en étoile au centre de vacances CEVEO situé à Luz Saint-Sauveur (65). Après ces semaines de fortes chaleurs en Occitanie, chacun espère secrètement trouver un peu de répit rafraîchissant sur les hauteurs de ces Pyrénées, montagne prisée et déjà parcourue en tous sens par le club.

Sous la houlette de Michel Puech accompagnée de Maryse, le programme concocté se déroule dans de bonnes conditions malgré quelques petits épisodes pluvieux que les « bartassous » ne redoutent jamais. Au Bartas, il y a toujours un plan B et les idées de manquent pas pour toujours être en mouvement !

Dès le 28 août, après une découverte de cette commune de plus de 900 habitants et de ses voisines situées au coeur du Pays Toy, le groupe est descendu dans les entrailles de la terre à Saint-Pé de Bigorre en visitant les grottes de Bétharram – ouvertes au public depuis 1903 et où la température ambiante et constante est de 14°. Un parcours souterrain où l’écoulement des eaux calcaires fabrique depuis des siècles des décors naturels qui stimulent l’imaginaire en même temps qu’il émerveille ou réveille des peurs enfantines.

La météo favorable du 29 août permet de se rendre dans les vallées de Gèdre et du gave de Héas pour découvrir le cirque glaciaire de Troumouse, un des plus grands des Pyrénées et d’Europe, situé à 2200 m d’altitude. Les vues impressionnantes de cette muraille minérale qui encadre les vallées verdoyantes contribuent à vivre des moments saisissants de beauté où chacun multiplie les prises de photos qui alimenteront les souvenirs au retour de cette randonnée dont la route nous fait passer par Gèdre  et où, si l’on est attentif et curieux, ce que nous sommes (!), le « sentier des moulins » céréaliers nous tire par la manche. En effet, la restauration de ce petit patrimoine bâti nous rappelle combien la survie économique et l’organisation sociale qui en découle a permis de tirer le meilleur parti de cette ressource naturelle qu’est l’énergie hydraulique. Ces cinq moulins à eau, datant du XIVème siècle, sont le témoignage d’une activité ancestrale en harmonie avec l’environnement sur le gave de Campbieilh.

La randonnée du Col de Madamète  s’effectue au cours de ce troisième jour sous un ciel gris. Des portions de montée raide à travers des blocs rocheux sur des chemins mal tracés au niveau des lacs de Madamète rendent le cheminement un peu pénible avant de traverser des pierriers aux blocs de rochers rendus glissants par l’humidité. La pluie fine voile les paysages et oblige à beaucoup de vigilance quant à la manière de marcher. Il fait plus frais et nous profitons d’un rayon de soleil pour pique-niquer à l’abri du vent. Une descente raide nous ramène au point de départ d’une randonnée d’un peu plus de 1100 mètres de dénivelé et de plusieurs heures de marche fastidieuse.

Il y a deux manières d’envisager cette quatrième journée : impatience ou appréhension puisqu’il s’agit de monter, depuis le Col des Tentes – jusqu’à la mythique Brèche de Roland et de gravir ensuite le Rocher du Taillon.

La Brèche de Roland est une trouée naturelle, large de 40 mètres et profonde de 70 mètres environ, s’ouvrant dans les falaises situées sur le pourtour du cirque de Gavarnie. Située à une altitude de 2 805 mètres, elle joue le rôle d’un col de montagne qui marque la frontière entre l’Espagne et la France sur toute sa largeur.  Très belle journée ensoleillée pour cette randonnée dont certains la découvrent pour la première fois, tandis que d’autres revivent l’expérience avec un plaisir et une satisfaction non dissimulés !

Nous arrivons au terme de notre séjour : au menu le cirque d’Estaubé, haute vallée glaciaire, l’un des trois grands cirques des Pyrénées classés au Patrimoine Mondial de l’UNESCO. Moins touristique que le cirque de Gavarnie, sa découverte n’en est que plus agréable ! Le départ de la randonnée pour le cirque d’Estaubé se fait au barrage des Gloriettes créé dans les années 50. Mais avant d’en entamer la découverte, nous profitons de la traversée d’une vaste prairie d’estive pour observer les « granges foraines »  ou « granges-étables » avec leurs singuliers pignons à pas de moineaux ou redents couverts de pierres plates  qui les protègent de la pluie, empêchent les infiltrations d’eau dans le mur porteur et permettent au couvreur d’y poser ses outils.

Est-ce la météo favorable du jour ou bien un jour de chance pour le groupe ? Après avoir entendu les cris des marmottes toute la semaine sans parvenir à les voir, aujourd’hui elles s’offrent à notre vue, à proximité du chemin, posant presque pour se faire photographier !!

La beauté de ce cirque ne s’explique pas ! Il faut la vivre, la sentir, la regarder et laisser place au silence pour écouter les chants de l’eau et des cascades. Les photos prises par les uns et les autres permettront de raviver la mémoire visuelle de ces instants privilégiés.

Nous bouclons notre semaine en ce samedi 2 septembre par un Tour du Pays Toy par les villages qui environnent Luz Saint-Sauveur et par le parcours de la « Promenade Napoléon III et Eugénie » qui nous permet de mesurer l’influence du couple impérial sur le développement de la station thermale de Luz Saint-Sauveur ainsi que sur le Pyrénéisme à partir de la fin du XIXe siècle.

En conclusion, les quelques 15 à 17 kilomètres parcourus durant les 6 à 7 heures de marche journalière, ainsi que les dénivelés allant de 800 à 1 100 mètres n’ont pas atteint cette volonté de toujours avancer, de descendre pour remonter, de monter pour redescendre. Les Pyrénées sont immuables, rebelles mais accessibles pour pouvoir se dire : « Il faudra revenir …. ».

Vous pouvez voir les Photos ICI.

Le tour des Encantats

Tour des Encantats du lundi 3 juillet au lundi 10 juillet proposé par Henri A.

Voilà le résumé:

Ça y est ! les 17 Bartassous sont tous revenus en pleine forme et « enchantés » du séjour dans les Encantats, pays aux mille lacs dans le Parc National d’Ayguestortes y Sant Maurici

Partis le lundi 3 juillet du pont de Ressec (1400m)  nous avons trouvé notre premier refuge (la restanca) à 2010m après une montée dans une forêt luxuriante.

Le mardi nous avons passé notre premier col ( l’Oelhacrestada à 2475m). L’orage menaçant ne nous a pas permis de gravir le Pic de Montardo (2837m). Quelques dizaines de lacs plus tard, l’orage nous a rattrapé (pluie et grêle !) à seulement quelques centaines de mètres de notre deuxième  refuge (Ventosa et Calvell  (2215m)).

Au menu du mercredi le passage du col de Contraix (2749m) restera dans tous les esprits  avec son ascension  interminable dans les blocs. Retenant les leçons de la veille, nous hâtons le pas pour parvenir au refuge d’Estany Llong (1985m) juste avant l’orage.

Jeudi nous passons le col de Dellui (2577m) sous un beau soleil, puis nous parvenons, de lacs en lacs, au refuge de Colomina (2420m).

Vendredi nous atteignons le paradis ! Après avoir franchi le vertical Pas de l’Os (2542m) et le col de Saburo (2668m), nous zigzagons  entre les lacs (nous ne les comptons plus !) pour atteindre le refuge José-Maria Blanc (2318m), posé sur les eaux bleues de l’Estany Tort de Paguera. Grand soleil tout le jour !

Samedi matin nous quittons le paradis pour l’ascension du Col de Monestero (2716m), avant d’entamer la longue descente vers l’Estany de San Maurici  (1800m) et d’atteindre le refuge d’Amitgès (2366m) sur une piste chauffée par un soleil éclatant.

Le dimanche était consacré à la découverte du cirque de Colomer atteint via le col de Ratera (2594m).  Le cirque est constellé de lacs tous plus beaux et sauvages les uns que les autres.  Il est dominé par la Tossal dels Ossos que nous  avons dû franchir par le Côth de Podo (2600m) en début d’après-midi (c’était la surprise du jour), avant de descendre au refuge de Colomer (2138m).

Toutes les bonnes choses ayant une fin, même en montagne, lundi nous atteignons notre point de départ au pont de Ressec après une petite montée de 300m pour passer le col de Ribereta et une longue descente de 1000m, sous un soleil de plus en plus chaud. Le petit demi à Vielha a été fort apprécié de tous !

« Les Encantats » est un pays composé d’une  myriade de lacs entrecoupée  de sommets de plus de 3000m, de cols abrupts parsemés de blocs à escalader mais aussi de belles pelouses vertes accueillantes. Tout ceci baigne  dans une multitude de fleurs : rhododendrons, lys jaune des Pyrénées, lys blanc, lys martagon, géraniums, arnica, Doronic,  hélianthèmes jaunes,….

Bravo et merci à tous les participants pour cette aventure enchantée vécue dans un esprit de groupe d’une cohésion exemplaire.

Vous pouvez voir des photos ICI.

Prochain séjour du Bartas : Luz Saint sauveur du 27 août au 3 septembre.

Le col de Contraix là-haut!
Les blocs du Col de Contraix
Le refuge JM Blanc

 

Séjour raquettes aux Estables

Séjour : Raquettes à Estables en Haute-Loire

Réalisé Du samedi 28 janvier au 04 février 2023: compte rendu ICI

 Animateurs : Henri Astier (06 78 50 76 34) et Michèle Gaven (06 31 47 99 10)

Randonnées : randonnées en raquettes (pédestres s’il n’y a pas de neige). Evaluées force 3-4

Séjour : limité à 16 participants pris dans l’ordre d’arrivée des chèques.

Hébergement : Les chalets du Mézenc  43150 Les Estables   Tél : 04/71/08/35/36

Prix du séjour : 488€ par personne environ. Les arrhes demandées seront de 244€ (cf conditions de l’hébergeur plus bas).

Ce tarif comprend :

  • La pension complète (diner, nuit et petit déjeuner, déjeuner) du samedi 28 janvier dans l’après-midi au samedi 04 février après le déjeuner ou avec un pique-nique.
  • L’hébergement s’effectue dans un p’tit chalet mis à notre disposition. (uniquement des lits simples pas de lits doubles).
  • Une salle de bain avec douche et WC se trouve dans chaque chambre.
  • Les draps et couettes sont fournies (linge de toilette à prévoir)
  • Le vin et le café sont compris.
  • Le goûter est inclus. (chocolat chaud).
  • Un apéritif de bienvenue est offert.
  • Une salle d’activité (avec sono et Vidéoprojecteur) est mise à disposition pour toute la durée du séjour.

Transport : covoiturage aller-retour variant de 40€ à 46€ selon météo. Soit A75N88 (environ 400kms), soit A75 (environ430kms).

Coût total : 488 + 40 = 528€                         488 + 46 = 534€

Conditions d’annulation de votre part (fixées par l’établissement).

Moins de 90 jours avant la date d’arrivée : 50% du montant total du séjour.

Moins de 30 jours avant la date d’arrivée : 70% du montant total du séjour.

Moins de 15 jours avant la date d’arrivée : 100% du montant total du séjour.

CONSEIL : il vaut mieux avoir ses propres raquettes.

LES INSCRIPTIONS SANS CHEQUE JOINT NE SERONT PAS PRISES EN COMPTE.

Conditions de désistement : application des conditions de l’établissement.

BULLETIN D’INSCRIPTION au séjour : Raquettes aux Estables en Haute-Loire

Du samedi 28 janvier au samedi 04 février 2023

Nom et prénom……………………………………. N° de licence FFRP………………………………

Signature……………….

Nom et prénom……………………………………. N° de licence FFRP………………………………

Signature……………….

Chèque d’arrhes de 244€ x ………. = …………….  avant le 18 décembre 2022 impérativement.

Le  2ième chèque de 244€ par personne avant le 15 janvier2023 impérativement.

 

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C’était il y a 10 ans, le 13 octobre 2012!!

Dimanche dernier, 9 octobre, Lo Bartas a organisé sa traditionnelle sortie « pintades » à la baume d’Héran. Chacun a constaté qu’une plaque représentant Lo Bartas est scellée sur la falaise au fond de la baume. Cette plaque a été posée début octobre  2012 et inaugurée à l’occasion de notre sortie « pintades » le 13 octobre 2012.

Cette plaque représente le logo du Bartas, inspiré lui-même par la fresque dessinée par Jean-Pierre B sur le mur du local de l’association, rue Guilhem Estève. Elle a été réalisée par Antoine R., président de notre association de 2000 à 2009, et son épouse Annie.

Pour faire connaitre cette petite histoire de notre club, et pour rendre hommage à ceux qui l’ont écrite, nous vous invitons à découvrir un extrait du diaporama réalisé en 2012 en cliquant ICI.

 

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Lo Bartas en Cornouaille et dans le Vercors

Depuis plusieurs année, Lo Bartas organise en fin d’été un séjour pour découvrir la Bretagne par le sentier côtier GR 34. Ainsi, le Bartas avait parcouru les Abers en Côtes d’Armor en 2018, puis la presqu’île de Crozon en 2019, Belle-Ile en 2021 et cette année la Cornouaille française.

La première des quatre étapes emmène les 21 Bartassous de Douarnenez jusqu’à la petite plage de Pors Péron par la Pointe de la Jument et le petit phare du Millier, sous un ciel menaçant parfois pluvieux, idéal pour marcher. Le second jour, nous rejoignons la Pointe de Penharn par l’oppidum celte du Cap-Sizun, la plage de Lesven, la réserve naturelle de Cap-Sizun et le moulin du XVIIIème siècle de Kerharo remis en activité. Nous sommes étonnés devant le caractère sauvage de cette côte déchiquetée par la mer d’Iroise, l’absence de constructions si ce n’est quelques petits ports minuscules, et le tapis de fougères au milieu duquel nous marchons.

Journée patrimoniale le lendemain, avec la visite de Locronan, superbe village à l’architecture de granit entièrement restauré, puis de Quimper pour un tour de ville et pour certains la visite du Musée, et enfin à Concarneau qui, bien que submergée par le flot touristique, nous laisse entrevoir la puissance de cette forteresse maritime du XVIIème siècle.

Nous reprenons le lendemain notre sentier côtier au milieu des fougères, avec des aperçus superbes sur le Cap de la Chèvre, de l’autre côté de la baie, par la pointe du Van, où nous subissons un terrible orage, obligeant le groupe à se réfugier…dans les toilettes. Passée la chapelle de Saint-They, nous découvrons à nos pieds la Baie des Trépassés, ainsi nommée car les courants y ramenaient les corps des naufragés, puis bien plus loin la Pointe du Raz sous le soleil revenu. Pas pour longtemps car un vent soudain nous accompagne jusqu’àu petit port de Bestrée et Pendreff, fin de cette journée extraordinaire.

A partir de Pendreff, notre dernière journée nous mène vers le joli port d’Audierne, terme de cette randonnée de 90 km et 2400 mètres de dénivelé par Primelin et la Pointe de Lervily.

 

Pendant ce temps, d’autres membres du Bartas ont fait le choix de la montagne et c’est dans le Vercors qu’ils se sont rendus pour un séjour « en étoile » à la découverte de ce massif calcaire pré-alpin. Séparant les massifs de Belledonne et du Taillefer de la Vallée du Rhône, il offre des sommets impressionnants à gravir, en gardant au sud un caractère méditerranéen vers le Diois.

Après une mise en jambes sur les pâturages de Font d’Urle et la découverte des scialets (avens du Vercors), Les 14 Bartassous du groupe sont  partis d’entrée à l’assaut du Grand Veymont, sommet du Vercors (2341 m), observés de près par les bouquetins. Au départ du Col du Rousset, en bordant d’impressionnantes falaises de 400 m de haut, Le But de l’Aiglette et le But de St Genix (1644 m) constituaient l’objectif de la 3éme journée. Malgré le temps incertain, le groupe a pu réaliser son programme. Récompense le soir, un joyeux anniversaire fêté avec l’équipe de la Maison de l’Aventure, que le Bartas recommande chaudement pour son accueil et sa restauration.

Le lendemain, randonnée sur la Montagne de Beure, le But Sapiau, le pas des Econdus, le Pas de Chabrinel , le tout sous un soleil revenu.

Puis le Cirque d’Archiane, au sud du massif, haut lieu de la lutte des maquisards en 1944, avec ses hautes falaises et ses pierriers pentus et impressionnants, était le but d’une magnifique randonnée de 23 km et 1350 m de dénivelé. Le dernier jour était réservé au Vallon de Combeau, offrant de superbes points de vue sur le Grand Veymont et le Mont-Aiguille, concluant une semaine de randonnée de près de 100 km et 5000 m de dénivelé .

 

Les adhérents du Bartas affectionnent ces séjours de randonnée sportive, qui ouvrent des horizons différents des Causses que nous parcourons toute l’année les mardi, jeudis et dimanches. Ces séjours sont aussi l’occasion de se retrouver en nombre restreint pour mieux partager une vie de groupe et accomplir des efforts ensemble, admirer des paysages, visiter des lieux patrimoniaux ou des villes, apprécier les spécialités culinaires ou viticoles, tout ceci ensemble. Une dizaine de séjours sont organisés chaque année par l’association.

Notre site : lobartas2.com

Week-End Club à Minerve 1er et 2 octobre 2022

Petite escapade du club dans le minervois qui a permis de découvrir dans le pays audois Capestang et sa superbe collégiale St Etienne de Capestang. Une randonnée dans le paysage méditerranéen où une nature géologique singulière a façonné des canyons spectaculaires, nous a amené à Minerve (ancien bastion cathare détruit par Simon de Montfort en 1210).  C’est un village minéral posé à l’extrémité d’un plateau calcaire, cerné de gorges profondes taillées par la confluence de la Cesse et du Brian. La Cesse a creusé des ponts naturels dont le plus grand forme un tunnel de 228m de long et un autre de 126m. C’est un site exceptionnel.

Après une nuit passée à Homps, une rando à partir de Tournissan sur le sentier botanique de Francis Lastenouse,  enfant du pays et amoureux de son village,  nous a renseignés sur la flore méditerranéenne.  La visite guidée de l’abbaye médiévale bénédictine de Lagrasse a clôturé ce week-end club. Belle découverte de lieux proches mais méconnus qui a enchanté tout un chacun.

Merci à vous tous, merci à Marie-T et Michèle pour l’organisation et à Henri pour l’organisation des balades en terre inconnue !!!!

Vous pouvez voir les photos en cliquant ICI

Des nouvelles du Vercors- Mercredi

Malgré le temps incertain, nous avons gravi le But de l’Aiglette et le But de St-Genix(1644m), en bordure d’impressionnantes falaises de 400m au départ du col du Rousset. 20km et 900m de dénivelé.

Notre séjour à la Maison de l’Aventure s’est terminé par un joyeux anniversaire, accompagné par toute l’équipe de cette maison que nous recommanderons pour la qualité de l’accueil , et aussi la qualité de la restauration.

Samedi 3 septembre 2022

Très belle journée au forum des associations où nous avons eu de nombreuses visites. Présage d’une très belle nouvelle saison de randonnées. Merci à Jean-Paul pour tout le travail de préparation du stand et merci à tous les adhérents qui sont venus donner un coup de main. Deux séjours du Bartas se déroulent cette semaine: en Bretagne et dans le Vercors. A bientôt sur nos chemins!   logo FFrandonée

Séjour à Aussois

Ce séjour à Aussois a eu lieu du 25 juin au 2 juillet sous le soleil, sauf un peu de pluie le mardi après-midi.

Sans rentrer dans les détails, voici le programme réalisé pour cette semaine de randonnée en montagne :

Dimanche 26 juin : Au départ du parking de Plan d’Amont, le Rocher des Corneilles et le Trou de la Lune (2670m) pour un groupe, l’ascension de la pointe de l’Observatoire (3016m) pour l’autre groupe.

Lundi 27 juin : contrariés pour le brouillard au Mont-Cenis, nous sommes allés sur le plateau de Bellecombe. Au départ du parking de Bellecombe, le tour des lacs avec passage en balcon sur le Doron de Termignon,  pour les deux groupes et rallonge dans le vallon de la Rocheure pour un groupe. Le brouillard ne nous a pas permis de gravir la pointe de Lanserlia (2842m) qui était prévue au programme.

Mardi 28 juin matin : visite des forts de l’Esseillon. Parenthèse découverte du patrimoine bien appréciée. Après-midi, sous la pluie, rando au monolithe de Sardières, visite du musée « l’arche d’Oé » ou visite des boutiques d’Aussois.

Mercredi 29 juin : Visite et marche en ville à Turin pour 15 personnes.  Visite guidée en Français le matin et déambulation libre dans la Ville l’après-midi. Pour le reste du groupe randonnée au lac glaciaire du Grand Méan  (2855m), départ de l’Ecot et montée par les gorges de la Reculaz et sa belle cascade, et retour par le cirque et le refuge des Evettes. Rando à l’approche des glaciers.

Jeudi 30 juin : Rando au refuge du Carro (2759m)et au lacs Noir et Blanc au départ de l’Ecot, pour tout le monde, montée par le chemin de pays du tour de la haute Maurienne pour certains, avec un petit détour aux sources de l’Arc et l’austère et pierreux col des Pariotes (3034m). Au retour visite des villages de l’Ecot et de Bonneval sur Arc.

Vendredi 1er juillet : au départ du parking de l’Orgère, montée au lac de la Partie (2456m), pique-nique pour tout le monde et retour groupé par le vallon de Polset.

Ce programme, avec plusieurs groupes de niveaux de randonnées, et combinant un aspect culturel et sportif, a bien répondu au attentes des participants qui sont revenus enchantés avec de belles images de montagne plein les yeux.

Un grand merci aux animateurs et à tous ceux qui, par leur solidarité et l’entraide dans les passages difficiles, ont contribué collectivement à l’effort et à la réussite du groupe.

Tout le monde a apprécié aussi la qualité de l’hébergement ainsi que la disponibilité et l’amabilité du personnel du centre de vacances « Fleurs et neige ».

Vous trouverez bientôt des photos sur ce site.

Bon été à tous et à bientôt sur nos chemins.  Prochains séjours du club: Douarnenez et Le Vercors en septembre.

Fort de l’Esseillon
Le trou de la Lune
Lac glacière du Grand Méan

Rando du dimanche 5 juin sur l’Aubrac

Ce dimanche 5 juin Patrick nous a invité à une randonnée gastronomique sur les pentes sud de l’Aubrac au départ de Vieurals. Nous sommes arrivés à la cascade de Lacasset où nous avons dégusté la fouace, avant de partir pour une belle boucle dans les hétraies et d’arriver au buron de la Truque où nous avons bien apprécié le pavé de boeuf Aubrac accompagné du traditionnel aligot. Puis c’est un peu plus lourds que nous avons gravi de belles pentes fleuries de pensées, de genêts et de gentianes, pour atteindre le plus haut sommet de l’Aubrac aveyronnais: l’Alteteste. Merci à Patrick pour cette belle randonnée.